Google
Earth
Le premier intérêt de
Google Earth est sa couverture photographique aérienne mondiale. L’altitude
d’observation est variable. On peut même, en mode Street View, avoir la vision
au niveau d’un piéton. Cette possibilité n’est cependant disponible que pour
certaines villes, en particulier occidentales (pas disponible pour Le Caire ou
Niamey, par exemple). D’une manière générale, l’information est plus développée
pour les concentrations urbaines que pour les régions inhabitées et le niveau
de définition est bien supérieur.
Un second intérêt est
de pouvoir sélectionner le type d’information que l’on veut faire
apparaître en surimpression : administratives (frontières par
exemple), physiques (météo par ex.), informations diverses attachées à un lieu
(suivi des objectifs du millénaire par ex.) etc.
Troisième
fonction : la création de cartes personnalisées grâce à des outils de
dessin permettant de marquer un lieu, de tracer un linéaire ou un contour
auquel sont adjointes des possibilités de mesure linéaire et surfaciques.
A signaler que, pour ce
qui concerne le territoire français, le Géoportail de l’IGN est un outil
alternatif intéressant : la définition est meilleure hors zone urbanisée
et des couches inexistantes dans Google Earth ou Google Maps fournissent des informations
supplémentaires : parcellaire, agriculture, aéronautique etc.
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